Chers amis, l’heure est grave !

Notre Juste Combat contre le Gender, la théorie du genre, est malmené face à la mobilisation exceptionnelle des puissantes forces LGBT et socialistes qui se réunissent chaque soir dans les caves sombres de Solférino pour échafauder de nouveaux plans machiavéliques pour détruire la famille.

Même nos alliés de l’UMP, qui avaient vaillamment lutté avec nous contre une loi destinée à faire vaciller notre civilisation, commencent à nous trahir. Je les soupçonne même d’être des infiltrés à la cause démoniaque LGBT qui nous font croire qu’ils sont de notre côté pour mieux nous poignarder dans le dos. Dernier événement en date, frère Jean-François, que nous croyions acquis à notre cause, nous ridiculise en lançant une polémique sur la nudité. Si sa déclaration était louable, s’en est suivie, en réaction, une vague de nudité sur tous les médias qui a traumatisé Glossinde, ma compagne. Elle ère désormais dans les pièces de notre hôtel particulier en murmurant « bite » à qui veut l’entendre.

Une longue histoire

Alors, pour couper court à tous nos détracteurs, rappelons la Vérité : non, la lutte contre le Gender n’est pas une lubie de cinglés en mal de reconnaissance, c’est une Sainte Lutte vieille de 2 500 ans d’histoire !

Jadis, l’Europe était sous le contrôle de la toute-puissance LGBT. De Rome à Athènes, de Carthage à Sparte, les pauvres peuples étaient sous la coupe des tyrans chefs de ce maudit lobby, associé aux monarques socialistes de l’époque. La civilisation occidentale était en pleine décadence, et la nudité était omniprésente dans les salles de classes, avec ces statues qui donneraient des spasmes à ma chère Glossinde, et où on demandait aux enfants de se toucher le zizi devant tout le monde.

Figurez-vous même que, lors de représentations théâtrales douteuses mettant en scène des hommes d’âge mûr prenant sous leur coupe des jeunes enfants innocents et leur faisant faire toutes sortes de cochonneries, des hommes se déguisaient en femme sur scène, comme dans l’odieux ouvrage que nos enfants sont obligés d’apprendre par cœur dans les écoles socialistes « Papa porte une robe ».

Une rédemption salvatrice

Cette civilisation en décadence allait connaître sa fin grâce au soulèvement du Peuple. Un soulèvement qui devait être comparable à la Grande Manifestation à laquelle, gaillards que nous sommes, nous avons participé Glossinde et moi accompagnés de nos huit enfants et de tante Marie-Chantal. Nous étions huit millions dans les rues de Paris à défiler le tyran socialiste François Hollande, marionnette du puissant lobby LGBT et de son bras armé, l’infâme Taubira. À l’époque, ils devaient être presque aussi nombreux à se confertir à la Sainte Foi, et repousser hors de l’Empire ces satanés dépravés invertis ! S’en est suivi un bon millénaire de prosperité, au cours duquel le rapport de force s’est inversé, les forces LGBT menées par Lucifer en personne étant réduites en cendres, comme le montrent ces belles images d’époque.

En cette période bénie, la Famille était reine, les enfants étaient épanouis, le Peuple heureux de communier dans la même paix et la même prospérité, sous la protection bienveillante de notre bon Roy. En cette période sainte, notre Eden, les parents – un papa et une maman – n’étaient pas obligés d’envoyer leurs enfants se faire bourrer le crâne par des enseignants socialistes à la solde du lobby LGBT, puisque l’école n’existait tout simplement pas. Et quand un enseignement était bien évidemment dispensé, c’était l’enseignement du père Guillaume, qui aimait vraiment les enfants.

Le Démon revient toujours

Mais ce que les Saintes Écritures nous ont enseigné, c’est que Lucifer ne s’avoue jamais vaincu. C’est l’invention malheureuse de l’imprimerie qui lui a permis de diffuser à nouveau ses idées néfastes, alors qu’avant toute production littéraire était sous le Saint Contrôle de notre très chère Église. Désormais, libre de diffuser son virus familiophobe à travers l’Europe, Satan a progressivement remis sur pied son bras armé, le lobby LGBT. D’abord timide, et combattu comme il se doit, comme l’illsutre cette allégorie de Saint Georges terrassant le dragon LGBT sous les applaudissement de la belle Christine Bouttin.

Sauf que, petit à petit, le mauvais esprit a infiltré toutes les pensées, le lobby LGBT redevenu puissant s’en prenant même physiquement au bon Roi, qu’il ne pouvait battre par le simple bon sens. La vengeance du Démon fut d’une cruauté sans fin, celui-ci entreprenant de détruire méticuleusement tout ce que notre très chère Église avait bâti par la grâce divine depuis des siècles. Cachés sous le nom usurpé de « Révolutionnaires », prenant en ôtage le peuple et parlant en son nom, les socialistes décrétèrent la maléfique « République » qui allait mener vers une nouvelle décadence.

Ayant désormais l’appareil d’État avec eux, nos lobbyistes LGBT contrôlent nos vies et veulent nous imposer des activités contre-nature. Mais s’ils contrôlent nos corps, ils ne contrôlent pas encore nos esprits, malgré quelques tentatives remarquées de faire passer l’abomination du Gender pour une douce et saine tradiction, comme dans la ville bolchévo-socialo-LGBT de Dunkerque, où, comble de l’horreur, tous les ans le Gender est célébré par hommes, femmes, mélangés dans une masse non genrée, et enfants pervertis. Attention, l’image ci-dessous est insoutenable.

Mais non, le Gender ne triomphera pas ! Le lobby LGBT, aussi puissant soit-il, ne vaincra pas. Car, comme à l’aube du premier millénaire, le peuple viendra en masse renverser les usurpateurs qui nous enchaînent dans leurs mœurs maléfiques. Le peuple se soulèvera, et c’est par millions qu’il défilera entre Neuilly-sur-Seine et le Huitième Arrondissement, ilôts encore préservés de la dépravation (pour combien de temps ?), pour crier au perron du maléfique tyran socialiste Hollande, que non, la Famille ne mourra pas sous les coups du Démon LGBT. Que nos vaillants chevaliers nous défendent !